24 mars 2010
La cueillette pas si bête des viola rivinia
La violette sauvage, on en trouve pas mal en mars sur nos terrasses et dans divers recoins : il s'agit je crois de de la violette de Rivinius, proche de la violette des bois. Hier, vu qu'elle tapissait généreusement le sol des figuiers, nous avons pris le temps de cueillir une à une ces délicates évocations du printemps. Le but, si l'on y parvient, est de les faire sécher rapidement pour les mélanger à d'autres plantes dans des sachets de tisanes par conséquent rehaussés d'une touche esthétique qui devrait faire son effet. Mais si' l'on y parvient seulement car la violette, gorgée d'humidité, risque de noircir au séchage. Dans ce cas, tant pis, on se vengera avec les rosiers gallica et leurs fleurs tout aussi comestibes.
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